EDIT : J'ai complètement réécrit l'histoire.
Présentation du personnage
Nom : D'Eydoche
Prénom : Théodor Léopold
Surnom : Duc D'Eydoche
Age : 16 ans
Sexe : Masculin
Groupe souhaité : Citadin
Physique du personnage
Le Duc D'Eydoche était un jeune homme aux traits fins et à la prestance noble. Il était grand, élancé et paraissait quelques années plus vieux, notamment à cause de son regard qui se voulait d'une confiance presque obscène. Théodor avait des cheveux très soyeux, longs, fins et d'une couleur océane. Ses yeux étaient d'un bleuté à l'éclat légèrement plus foncé encore que le nuit de sa chevelure. L'air parfois moqueur, son visage aux éléments petits et joliment dessinés proposait le plus souvent un air serein.
Bien que mince, Théodor Léopold avait une certaine stature. Il tenait ses épaules peu larges bien droite et son poitrail peu développé bien en avant comme s'il en était fier. C'est cette tenue, ajoutée à ses habits d'une grande classe, qui faisait toute sa prestance Son costard d'un noir légèrement bleuté et attaché par les deux boutons du milieu, se mariait élégamment avec ses longs cheveux. Sa cravate d'un pourpre sombre faisait ressortir ses yeux. Derrière la cravate, une petite chemise blanche très discrète et, lorsqu'il ne portait pas la cravate, ouverte en V sur le milieu de sa poitrine nue d'adolescent. Une ceinture d'un blanc immaculé venait souligner autant que soutenir un pantalon à la coupe simple et élégante, à la couleur marine de peu plus claire que le costume. Ses mains étaient toutes aussi menues que le reste et il portait des souliers de cuir, couleur de nuit sans lune.
Caractère du personnage
Théodor D'Eydoche a horreur de la Maison des Délices. Il la qualifie d'indécente, décadente et malsaine. Il condamne toutes les activités lubriques et perverses qui s'y produisent. Il est aussi empathique et plaint chaque jour ces êtres, créés et dressés dans l'unique but de satisfaire les appétits financier de leurs maîtres en entretenant les envies contre natures de leur clientèle. Croyant, il prie chaque soir le Seigneur pour le salut de ces âmes perdues en essayant de ne pas imaginer les scènes vécut au même instant par les hybrides, et que sont esprit encore jeune ne pourrait supporter de voir de près.
Outre son dédain pour l'obscénité de la Maison, le Duc D'Eydoche est un fin gourmet. Il apprécie la cuisine des grands chefs tout autant, si ce n'est plus, que chaque client des Délices se régale des nuits. N'allant pas au restaurant tous les jours, il est donc très tôt devenu bon cuisinier et prend autant de plaisir dans la préparation que dans la dégustation. Pour accompagner sa nourriture, il sait relativement bien choisir le millésime et le terroir parmi les nobles bouteilles de sa cave personnelle. Depuis qu'il a finit sa croissance il y a peu, il commence d'ailleurs à prendre du poids et débute donc un sport supplémentaire.
Étonnement, Théodor n'a jamais particulièrement aimé les sports de son rang. Il préfère volontiers les sports de ballons aux sports d'équitations, malgré la contrainte de l'effort physique et des douches additionnelles. Très bon volleyeur, joueur très polyvalent, il a pour caractéristique dans tous les sports qu'il pratique de ne jamais laisser tomber, ce qui lui permet d'aller chercher des balles qui paraissaient perdues. Jusque là unique sport qu'il pratiquait régulièrement, s'ajoute depuis peu le badminton, dans lequel il ne fait que débuter.
Mis de côté sa vie sportive et ses repas, le Duc est calme et sobre lorsqu'on le laisse tranquille ou qu'on ne le contredit pas. Mais face à une contradiction de ses dires ou de ses principes, il part facilement dans des tirades inspirées et empruntes de raisonnement construit sur une logique plutôt solide. Doux rêveur, il se ballade très souvent, quelque fois à cheval, et apprécie de faire la sieste parmi le gazon et les fleures printanière. En hiver, il demeure en sa résidence et passe la plupart de son temps à lire des œuvres classiques dans la douce chaleur de sa cheminée, à étudier les matières qui lui plaisent, ou encore à écouter de la musique classique ou du jazz.
Depuis très jeune, Théodor D'Eydoche est fasciné par la ferronnerie artistique. Toutes ces rampes d'escaliers, ces meubles et ces sculptures en fer forgé finement travaillés et d'un esthétisme incroyable l'ont intrigué pendant toute son enfance. Cela fait maintenant quelques années qu'il en étudie la théorie et qu'il pratique cet art avec un maître, une fois par mois seulement pour le moment car le côté manuel le décourage quelque peu. Plus récemment, Théodor Léopold a commencé à s'intéresser à l'art de la photographie. Commençant d'abord par photographier de la ferronnerie artistique, il est en train d'élargir son champ de vision et son intérêt pour la capture d'image.
Histoire du personnage
Né le 13 Août 1995 de parents nobles, Théodor a passé la plus grande partie du début de son enfance seul avec une nourrice ou en compagnie de ses parents lorsqu'ils étaient en déplacements d'affaire ou de mondanité, c'est à dire dans des lieux où les jeunes hommes sont rarement présents et s'ennuient. Très tôt, le Duc vit le monde de façon très adulte sur certains points. Le plus particulier pour un enfant était son attrait extrêmement présent pour l'exercice de la logique. À l'âge de cinq ans, bien que son avis sur la question de la croyance ait changé depuis, il démontre avec ses mots d'enfant, la non-existence de Dieu en utilisant l'outil complexe qu'est le syllogisme inversé.
Par ailleurs, lors de ballades solitaires à l'intérieur du château ou il vit le jour, il admirait sans jamais s'en lasser les immenses rampes d'escaliers et les quelques sculptures en fer forgé. À l'âge de six ans, en même temps qu'il débutait le cycle d'école primaire (avec un professeur particulier qui venait au château), Théodor Léopold commença à prendre des leçons théoriques avec un compagnon ferronnier. Ce fut là sa première véritable distraction qui vint casser l'ennui et la solitude dans laquelle il vivait jusqu'alors.
Au bout de plusieurs années, une fois qu'il eut atteint l'âge de huit ans, Claude Capestre, le ferronnier, voulu initier le Duc D'Eydoche à la pratique, en commençant par les tâches ingrates mais simples, comme le font souvent les maîtres avec leurs apprentis et leur descendant voué à reprendre le flambeau. C'est ainsi que Théodor D'Eydoche rencontra Léane Capestre, la fille du compagnon, âgée de 11 ans, à ce moment unique enfant du ferronnier. Ce fut sa seule amie durant toute son enfance et elle devint une servante de la famille du Duc l'année qui suivit la rencontre, alors que Géraldine Capestre, la mère, tombait enceinte d'un garçon. Quelques années plus tard, à ses douze ans, Théodor débuta dans un club de volley-ball, après une série d'échec dans tous les sports de son rang, tel l'équitation ou le polo. Cette activité lui plût énormément et il continua d'y jouer jusqu'au jour où il déménagea. Avant cela, Léane venait régulièrement assister au matchs auxquels il participait, déclarant adorer ce sport.
C'est lorsqu'il eu 16 ans que les parents du Duc, voyant en leur fils un jeune homme accomplis et mure, lui offrirent un manoir, dans une ville où il ne connaissait personne. Ils souhaitaient éprouver sa maturité mais continuaient de l'entretenir financièrement et venait diner chez lui très souvent, ne tarissant pas de louanges sur sa cuisine. Car en effet, c'était le Duc D'Eydoche lui-même qui concoctait la plupart de ses plats Après avoir débuté le volley-ball, son appétit s'était développé et sa curiosité culinaire agrandie. N'allant que peu souvent au restaurant et ne se trouvant que moyennement satisfait de la cuisine du château, il commença alors à cuisiner et, en gourmet acharné, devint rapidement plutôt doué.
Lors du déménagement, ce fut Léane qui fut choisie pour être l'unique servante à accompagner Théodor. Elle fut gratifiée d'un avertissement en privé particulièrement effrayant, de la part des parents de Théodor Léopold, qui semblaient ne pas tellement apprécier l'amitié entre leur fils et une fille indigne et qui ne souhaitait qu'elle profita de leur solitude pour tenter d'accéder à leur rang et que de toute façon ce serait impossible car ils feraient barrage. Environ un mois après l'arrivée du Duc et sa servante, la Maison des Délices commença à se faire connaître et le Duc D'Eydoche en fut particulièrement exaspéré. Un peu plus tard il se demanda comment ses parents avaient-ils pût sélectionner une telle ville pour lui faire débuter sa vie. Parfois même, il se surprenait à les soupçonner d'avoir choisit cette ville uniquement pour cette raison. Si c'était le cas, ce devait sûrement être dans le but de l'inciter à mettre un terme à ces actions malhonnêtes et affirmer son influence sur ce lieu. Oui, ce ne pouvait être que pour cela, il n'y avait aucune autre explication possible. À moins que...
Et vous ?
Surnom : Monsieur 42 (ou Lenini)
Âge : 19 ans (et demi ! X) )
Un commentaire ? : J'aimerais savoir quelle date je dois considérer par rapport au laps de temps entre le moment où Théodor emménage et le début de l'essor de la Maison, quitte à modifier la date de son déménagement. Sinon, je crée volontairement un personnage qui n'aime pas la Maison des Délices pour ouvrir de nouvelles perspectives de RP, du ni hentai ni sentimental (ce qui ne signifie pas que mon personnage n'en fera jamais mais ce ne serait pas, du moins pas au début, le sujet principale) et éventuellement un genre un peu plus sombre sur le buiseness du sexe pouvant aller potentiellement jusqu'à une sorte de mafia, avec un côté incitation calculée et parfois semi-forcée à succomber aux délices de la Maison. Je pense peut-être créer un second personnage, un apprenti très ambitieux qui aurait des idées de ce style sur les affaires des Délices. À part ça, je suis partisan du RP libre (mais je ne suis pas non plus exclusif si quelqu'un veut faire un RP PV avec moi et que le sujet m'intéresse, j'accepterais) et je suis ouvert à toute proposition. Je pense notamment qu'il pourrait être intéressant que des membres prennent le personnage de la servante Léane Capestre ou des parents.
